
Albin-Georges Terrien nous raconte la guerre au travers de ses yeux d'enfant dans la campagne ardennaise et paysanne. On retrouve le petit monde d'Engreux déjà rencontré dans «La glèbe» et plusieurs personnages hauts en couleurs.
La religion hiérarchisée, la peur de l'enfer, les injustices sociales et l'absurdité de la guerre nous sont dépeintes sans concession.
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