
En 1950, Arthur Schmitz est à nouveau dépaysé : il entame son premier terme pour le compte de l'Otraco au Congo belge. Il en effectuera trois, le dernier écourté par les turbulences occasionnées par l'accession à l'indépendance du Congo. Il tient un journal de cette vie et il nous le livre aujourd'hui, cinquante ans plus tard, dans ses moindres détails. Le conte de ses activités quotidiennes est prétexte et occasion pour décrire à petites touches l'univers du broussard dans ces dernières belles annnées 50.
Voici un témoignage brut, reflet des réalités d'une époque, et c'est un témoignage inédit en littérature wallonne.